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Arlo et Janis offrent des commentaires incisifs sur le côté propriétaire du boom immobilier et à quel point cela devrait avoir peu d’importance pour ceux qui sont déjà dans une maison, en particulier une avec une hypothèque immobilisée à faible taux d’intérêt sur 30 ans.
C’est un excellent moment pour eux de rester sur place et de ne rien faire.
Comme il le note, il est peu probable qu’ils échangent dans un meilleur endroit, non seulement à cause des prix plus élevés, mais parce qu’au moment où ils ont réparé leur maison pour la vendre, puis ont payé les divers frais de clôture, commissions et frais de déménagement, ils ‘ d dois faire un grand pas en bas de l’échelle.
Et gardez vos mains sur ces capitaux propres, car il y a beaucoup de poussière de lutin dedans, et, si vous empruntez dessus et voyez ensuite la bulle éclater, vous pourriez vous retrouver à l’envers, avec une dette supérieure à la valeur marchande recalibrée de votre loger.
Voici une des premières histoires d’horreur d’Halloween :
Dans les années 80, lorsque j’écrivais pour un magazine immobilier à Colorado Springs, les taux hypothécaires ont grimpé à deux chiffres et les prêteurs ont commencé à proposer ce qu’ils appelaient un rachat 3-2-1, ce qui signifiait que, pour la première année, votre les versements ont été calculés à 3 points de moins que le taux réel de votre hypothèque. L’année suivante, il serait inférieur de 2 %, puis de 1 % et, la quatrième année, les paiements seraient au taux réel.
Plus tard, alors que les taux hypothécaires continuaient d’augmenter, ils sont passés à un rachat 5-3-1, ce qui sonnait bien, même si, bien sûr, le coût réel de ces remises était intégré au prix d’achat.
Ce qui était populaire dans une ville militaire, parce que, bon sang, dans trois ans, tu avais de toute façon une nouvelle affectation, donc tu pouvais vendre ta maison et passer à autre chose.
Sauf que la ville était surconstruite, de sorte que, lorsque vous avez essayé de vendre votre condo, il y avait de toutes nouvelles unités invendues à l’autre bout de l’immeuble, et, grâce à tous ces paiements escomptés, vous étiez sous l’eau dans votre prêt existant.
Les gens n’avaient d’autre choix que de jeter leur crédit et de s’en aller, et les listes de HUD Repo sont passées de la taille d’un magazine à un annuaire téléphonique.
Nous n’en sommes pas encore là, mais vous pouvez le voir d’ici.
Écoute Arlo. Accrochez-vous et restez sur place.
Juxtaposition du jour
(Ben Jennings)
Il s’agit en quelque sorte d’une bonne/mauvaise nouvelle, car, alors que nous devrions probablement être heureux que le dollar se porte bien, sa force, comme le note Kal dans un dessin animé pour le magazine britannique The Economist, se fait au détriment du monde marchés, comme l’a démontré Ben Jennings, et comment aimez-vous avoir votre visage là-dessus, Charlie ?
Quelqu’un a plaisanté l’autre jour en disant que, puisque je suis à la retraite, elle était surprise que je ne vive pas sur une île grecque et que, si tout était stable, j’achèterais l’idée. Mais le coût de la vie n’est pas stable, et, tout comme Arlo et Janis doivent rester sur place, nous aussi.
C’est comme cette vieille blague sur le type qui se réveille d’un coma de plusieurs décennies et appelle sa banque pour savoir comment ses économies ont augmenté, seulement pour que l’opérateur l’interrompe et lui demande de déposer 2 000 $ pendant les trois prochaines minutes. Et je me rends compte que les jeunes lecteurs ne comprendront pas comment l’épargne pourrait augmenter ou le concept d’un téléphone public, mais croyez-moi.
Et, tant que nous envisageons la livre sterling, j’ai mentionné les bombardements que Liz Truss reçoit des dessinateurs, mais ici elle se fait tabasser par un chroniqueur à la place et ne souhaiteriez-vous pas que nos journaux aient ce genre de cojones?
Pour enchaîner sur le sujet des médias, David Chevaly couronne ce dessin animé avec une colonne solide sur la façon dont les médias audiovisuels sont devenus obsédés par la sur-couverture d’une seule histoire à la fois.
Il a raison, et l’ancien Headline News me manque qui vous donnerait le top de l’actualité toutes les demi-heures, plutôt que de laisser tomber la couverture de tout le reste pour ressasser sans cesse leur histoire du jour choisie.
Les gens ont demandé pourquoi les journalistes se démarquent dans l’ouragan, mais c’est leur travail, et il est important de laisser les téléspectateurs voir à quel point une tempête est grave, tout comme il est important d’avoir des journalistes au front pendant les guerres, tant qu’ils font des reportages et pas seulement s’exhiber.
Le journalisme est une affaire sérieuse et le bulletin Reliable Sources comprenait une bonne interview l’autre jour sur le thème de la sécurité des journalistes dans les ouragans.
Juxtaposition du jour (Division Sports)
Les téléspectateurs de football ont eu droit à un spectacle d’horreur la semaine dernière, alors que le quart-arrière des Dolphins de Miami, Tua Tagovailoa, a été gravement blessé lors du match de dimanche contre Buffalo, chancelant et tombant sur le terrain, mais a ensuite été autorisé à revenir dans ce match.
Huit jours plus tard, il a subi une autre blessure à la tête qui l’a empêché de quitter le terrain par ses propres moyens, et il ne devrait pas jouer ce week-end.
L’ailier défensif des Cardinals de l’Arizona JJ Watt, qui a livré plus que sa part de coups sûrs sur les quarts-arrière, a parlé, comme vous pouvez le voir, pour des milliers de fans en suppliant le réseau de télévision (Amazon Prime) d’arrêter de rejouer la blessure de Tagovailoa lors de ce match de lundi soir, et Bramhall fait écho à sa condamnation de l’aspect Colisée romain de la couverture.
La NFL a institué plusieurs changements de règles, des innovations d’équipement et des protocoles de blessures pour réduire les blessures à la tête qui entraînent trop souvent des lésions cérébrales graves, permanentes et mortelles, mais, comme le suggère le Dr Macleod, il y a encore des cotes à prendre en compte et la lie du vieille école « Sortez et secouez-vous » attitude de dur à cuire.
Le syndicat des joueurs a pris les devants, licenciant le « consultant en neurotraumatologie non affilié » qui, en vertu des règles de la ligue et de la convention collective, est chargé d’évaluer les commotions cérébrales sur la touche.
Il faut certainement plus de réponse. Comme l’a rapporté cette histoire de NBC, l’entraîneur des Ravens de Baltimore, John Harbaugh, a été horrifié par le fait que le Tagovailoa a été autorisé à revenir au premier match, sans parler d’être autorisé à jouer dans le suivant :
C’est une histoire aussi vieille que le jeumais Watt et Harbaugh – deux des hommes les plus réfléchis de la ligue – pensent que le jeu peut être joué avec un minimum de sécurité, si l’éthique et les règles sont respectées.
La question est, est-ce que le Bureau de la Ligue le croit ?
Ou ca?